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Avril 2013:

10 avr

CONFERENCE INTERNATIONALE : EMPLOI DES MOYENS AERIENS POUR LA LUTTE CONTRE LES FEUX DE FORETS

10 avr - 11 avr

Le Pôle Risques est partenaire, aux côtés du Pôle Pégase et du SDIS 13, de la conférence internationale "Emploi des moyens aériens pour la lutte contre les feux de forêts" organisée par Tangent Link.

Cette conférence, organisée tous les deux ans sur le continent européen, se déroulera pour sa prochaine édition en PACA, sur le site pédagogique de l'ENSOSP.
Programme disponible en cliquant ici

Modalités d'inscriptions très prochainement disponibles en cliquant ici

10 avr

FMPA des Directeurs et Directeurs adjoints de Services d’incendie et de Secours

10 avr - 11 avr

La formation de maintien et de perfectionnement des acquis a pour vocation de produire une formation réservée aux directeurs et directeurs-adjoints des SDIS. Elle se déroule sous la forme d’un stage de 3 sessions.

Stage 1 – 2013, sur le thème : les outils de pilotage

Objectifs de la formation:

A l’issue de la formation, les participants doivent être en mesure de disposer d’éclairages sur la question « Comment peut-on aujourd’hui piloter une organisation dans un contexte où à la fois il y a de plus en plus d’outils, d’indicateurs nécessaires à la mesure de la performance et en même temps, où le décideur doit être garant de l’unité de l’organisation et du sens donné à la gestion publique ? »

Session 2 : 10 et 11 avril 2013 (Paris)
Session 3 : 22 et 23 mai 2013 (Paris)

16 avr

Journée Professionnelle ENSOSP >> Les énergies du développement durable : risques émergents, spécialités opérationnelles à anticiper ?

16 avr - 17 avr

Pour le bâtiment, les énergies renouvelables sont le solaire thermique : pose de panneaux solaires plans ou sous vide. Le solaire photovoltaïque : captation de l'énergie solaire via des cellules de silicium transformant le rayonnement solaire en électricité. La géothermie: Captant l'énergie de la terre ou de l'air via une pompe à chaleur qui transforme et amplifie la chaleur captée et naturelle. Le bois énergie: utilisation de la biomasse naturelle du bois et de ses dérivés tels pellets pour le chauffage des constructions (le CO2 dégagé compensant d'une manière quasi neutre le CO2 capté durant la vie de l'élément bois). L'éolien: captage de l'énergie motrice du vent pour la transformer via un alternateur en électricité verte!

Une énergie renouvelable dans la construction est un parti qui rentre petit à petit dans la réglementation. La règlementation technique (RT) 2012 et la prochaine RT 2020 impliquent l'utilisation quasi systématique de système de chauffage à base de solaire, de pompe à chaleur, de bois... La production d'énergie afférant au futur BEPOS (bâtiment passif à énergie positive) implique nécessairement la fourniture d'électricité avec des panneaux solaires photovoltaïques ou des éco-générateurs produisant simultanément de la chaleur sous forme d'eau chaude et de l'électricité.

Pour le transport, une autre énergie renouvelable en cours d’étude très avancée : l’hydrogène. Très abondante, plus énergétique que le pétrole ou le gaz naturel, ni polluante, ni toxique, elle pourrait répondre à différents besoins. Le secteur des transports routiers très dépendant du pétrole est l’un des secteurs qui pourrait prioritairement l’utiliser Aujourd’hui, son utilisation trouve un marché industriel porteur au travers de l’alimentation en électricité des antennes de téléphonie mobile sur des sites isolés. . D’après une projection de la commission européenne sur le marché de l’énergie, l’hydrogène participera d’ici en 2030 à 5 % dans le secteur des transports et continuera avec une forte croissance les années suivantes. L'hydrogène est un vecteur d'énergie et non une source. Il faut donc d'abord le produire, le stocker, et l'embarquer à bord des véhicules pour le distribuer

L’hydrogène est utilisable soit directement dans les moteurs à combustion interne soit comme combustible dans une pile à combustible. Des véhicules électriques, dont l’hydrogène alimente une pile à combustible qui recharge en permanence les batteries de la voiture électrique commencent à circuler et les premières stations -services voient le jour.

Les risques associés à la production et à l’utilisation de l’hydrogène dans le milieu industriel sont connus et maîtrisés. Le contexte réglementaire y est adapté et les codes des bonnes pratiques existent. Elargir l’utilisation de l’hydrogène à d’autres applications, comme le transport automobile nécessite d’établir de nouveaux référentiels, de fixer de nouvelles normes et d’adapter le contexte réglementaire.

Son utilisation soulève plusieurs difficultés du point de vue de la sécurité : Le transport et le stockage, les fuites et la formation d’atmosphère explosive.

On attribue souvent aux énergies renouvelables des caractéristiques favorables (qu'elles peuvent mériter ou non) au rang desquelles figurent la sûreté (faible risque d'accident, faible conséquence d'un éventuel accident). Cependant, de nombreux sites Internet français et étrangers citent des accidents directement ou indirectement imputables à ces énergies. Les sapeurs-pompiers déjà sensibilisés à cette typologie de risques doivent-ils adopter leurs techniques opérationnelles en fonction de la nature des accidents ?

Par ailleurs, le développement de ces énergies constitue une priorité de la politique énergétique française afin de réduire la dépendance énergétique de la France et contribuer à satisfaire les engagements internationaux (accords de Kyoto) mais aussi les engagements européens qui s’expriment au travers de plusieurs directives importantes. Par ailleurs, il y a également l’engagement du Président de la République française visant à réduire la production d’électricité nucléaire à 50 % d’ici 2025. Le nombre d’accidents liés directement ou indirectement à ces énergies ne risque-t-il pas de croître en fréquence et en gravité dans les années à venir ?

Enfin, les ENR ne représentent pas à elles seules de nouveaux risques auxquels les sapeurs-pompiers doivent faire face. Trois catégories de nouveaux risques dits « risques émergents » peuvent être identifiées : ceux liés à l’innovation technologiques (et les risques relatifs aux ENR en font partie) mais aussi ceux liés à de nouvelles expositions et ceux issus d’une combinaison des deux phénomènes. Peuvent-être cité les nanotechnologies mais aussi des risques sanitaires tels que la recrudescence des épidémies de légionellose ou la propagation du moustique-tigre Aedes (Stegomyia) albopictus. Comment anticiper ces nouveaux risques et la réponse en matière d’intervention ?

Voir en ligne : Voir le site Internet dédié sur la transition énergétique

16 avr

Les Nocturnes de l'ENSOSP par la FILT 78 : les techniques opérationnelles en Suède liées aux nouveaux risques

16 avr

18 avr

FMPA des médecins chefs et de leurs adjoints

18 avr - 19 avr

Thème : Les réseaux sociaux

24 avr

Les Nocturnes de l'ENSOSP >> Conférence : Colonel Michel MARLOT (DDSIS 71)

24 avr

ENSOSP-AFFICHE NOCTURNE CLN MARLOT

25 avr

FMPA des médecins chefs et de leurs adjoints

25 avr - 26 avr