Un premier rapport avait été consacré à la prévention des risques naturels et à la gestion de crise. 60 recommandations avaient été formulées, articulées sous 4 axes :
- Mettre niveau les dispositifs territoriaux pour parer aux situations extrêmes ;
- Renforcer la capacité d’anticipation et de prévention avec notamment une meilleure acculturation des populations ;
- Rendre plus robustes les conditions de la gestion de crise ;
- Miser sur la dimension collective et inclusive d’une démarche qui doit favoriser l’efficience du rôle joué par chaque acteur de proximité.
Cette année, un second rapport a été rédigé mais dédié à l’après-crise, c’est-à-dire aux thématiques liées à la reconstruction et à la résilience des territoires. Une série de 40 préconisations autour à nouveau de 4 axes ont été exposées :
- Assurer un pilotage et le suivi institutionnel de la reconstruction ;
- Apporter un appui à une reconstruction efficace et durable ;
- Mieux anticiper l’évolution des risques naturels outre-mer ;
- Conduire des politiques de prévention des risques sur le long terme.