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"Depuis 2018, les policiers ont le droit d’arborer des tatouages, à condition toutefois qu’ils ne soient pas visibles et qu’ils ne constituent pas des messages de haine. Une autorisation au nom de l’individualisme triomphant dont on aurait pu se passer, estime Julien Sapori, commissaire divisionnaire honoraire." Par Julien Sapori, Commissaire divisionnaire honoraire |