Cette proposition de lois vise d'abord à consacrer un statut au "sauveteur occasionnel" en instaurant des conditions d'intervention.
Ensuite, ce texte a pour objectif de "mieux sensibiliser les citoyens aux gestes qui sauvent". Cette sensibilisation se traduit par une formation adaptée et la création d'une journée nationale de lutte contre l'arrêt cardiaque.
Enfin, les parlementaires ont introduit une partie répressive au dispositif à savoir "renforcer les peines en cas de vol ou de dégradation d'une défibrillateur".